Parmi l'inquiétude de ce temps si étrange et chargé de nos peurs ancestrales, enracinées en nous, j'entends le cri de frayeur de tous ceux alarmés par ce si bref instant vers le passage où tout s'éteint, rien ne s'emporte, rien ne se garde, rien ne reste.
Peuvent-ils dans cette ultime étape garder un peu de sagesse, de dignité dans la folie de leurs peurs, afin d'imaginer l'acceptation de la douceur du silence vers cette éternité qu'il nous faudra croire de paix.
4/04/2020
Information
Tous les textes sont protégés par l'Agence des dépôts numérique
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
-
Les textes de ce blog viendront en tout ou partie, s'insérer pour compléter l'ensemble et réfléchir à l'har...
-
La chronologie des années qui nous occupe : bruyante période, où le repli sur soi s'accommode indécis, à l'unisson des silences ra...
-
Ce matin aux limites de la nuit, malgré un réveil, prisonnier des brumes nocturnes, mes pensées se bousculent dans un désordre presque parf...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire